De bonnes perspectives d'emploi

L'appel de la mer n'est pas entendu par tous, évidemment. Mais ceux à qui il est destiné seront sûrement heureux d'apprendre que les perspectives d'emploi sont bonnes dans le domaine et que l'éventail de possibilités de carrières sur un navire est de plus en plus large et diversifié. Voici un aperçu de ces métiers maritimes.

 

Les grands horizons, une certaine liberté et la découverte de nombreux pays font partie, probablement depuis toujours, des raisons qui attirent certains et certaines vers les métiers de la mer. Mais depuis quelques années, il est possible d'y faire carrière en ayant un horaire pas trop contraignant si on le souhaite, tout en récoltant de très bons salaires.

«Il va y avoir beaucoup de besoins à combler. La vie en mer ne convient pas à tous, on peut être partis pour de longues périodes, mais il s'agit d'emplois très intéressants et où les salaires moyens sont plus élevés qu'ailleurs en raison de la formation requise et la rareté de la main-d'oeuvre», explique Claude Mailloux, directeur général du Comité sectoriel de main-d'oeuvre dans l'industrie maritime (CSMOIM).

 

«Il y a un creux en 2015 et 2016, mais on doit quand même planifier la relève, car on estime que l'ensemble de l'industrie [au Québec] a besoin de 2000 nouveaux travailleurs par cycle de trois ans. Ça a ralenti, mais ça va sûrement reprendre du mieux», soutient M. Mailloux. Environ le tiers de ces nouveaux emplois concerne le personnel navigant.

Les emplois à terre (débardeurs, agents maritimes, affrètement, employés de chantier, etc.) sont les plus nombreux. Ils représentent les deux tiers des 13 000 emplois reliés au monde maritime au Québec. Plus de 6000 emplois indirects en dépendent également….

 

(Extrait d’un article paru dans le journal : Le Soleil)

 

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