Les patrons canadiens plus optimistes

La pandémie n’a pas bouleversé tout le monde de la même façon.

 

Une étude publiée par KPMG a révélé que les chefs de la direction canadiens sont plus optimistes quant aux perspectives de croissance que leurs homologues étrangers.


« En raison des mesures prises au Canada pour aplanir la courbe de la COVID-19 et réduire le nombre de cas d’infection, les chefs de la direction canadiens ont plus confiance dans la reprise de l’économie nationale que leurs homologues étrangers, et seulement 12 % estiment que l’économie est en plus mauvaise posture aujourd’hui qu’avant la COVID », affirme Stephanie Terrill, leader nationale, Services-conseils, KPMG Canada, dans un communiqué.

 

L’étude du cabinet d’audit a d’abord été menée auprès de 75 chefs de la direction canadiens et 1 300 chefs de la direction dans le monde, en janvier et février de cette année. La société a ensuite fait un suivi auprès de 315 chefs de la direction dans le monde, y compris des Canadiens, entre le 6 juillet et le 5 août. Les données recueillies révèlent que 48 % des chefs canadiens sont beaucoup ou relativement plus confiants dans la croissance de l’économie intérieure, contre 45 % des chefs du monde.

 

« Les chefs de la direction canadiens sont aussi plus optimistes quant aux perspectives de leur entreprise et accélèrent leurs investissements dans les technologies numériques, ce qui témoigne de la nécessité de trouver à l’avenir de nouvelles méthodes de travail et de résolution de problèmes », a noté Stephanie Terrill.

 

Quelque 76 % des chefs de la direction canadiens jugent essentiel d’investir dans l’intelligence artificielle et l’automatisation afin d’atteindre une croissance durable à long terme. À l’échelle mondiale, le chiffre tombe à 72 %.

 

« La COVID-19 accélère les stratégies numériques. De nombreux dirigeants doivent repenser radicalement leur exploitation, intensifier la technologie, redéfinir leur chaîne d’approvisionnement et innover afin de préserver la sécurité de leurs employés et de livrer leurs produits et services à leurs clients, explique Stephanie Terrill. Mais les entreprises canadiennes n’évoluent peut-être pas assez rapidement. »

 

Source : Le Conseiller

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